Avec l’application des lois ALUR et ÉLAN, les obligations légales des syndics de copropriété se voient alourdies. Aussi, pour se faciliter la tâche au maximum, il peut être intéressant de passer au syndic de copropriété en ligne. Appelé également syndic à distance ou microsyndic, ce type de syndic de copropriété présente en effet différents avantages non négligeables. D’ailleurs, malgré ses limites, il constitue une option à privilégier pour la gestion des petites copropriétés. D’autant que les solutions en la matière ne manquent pas : LeBonSyndic, SyndicOne, Hello-Syndic ou encore ClicSyndic…
Catégorie : Trouver un syndic de copropriété
La loi n° 65-557 est formelle. Toute copropriété doit nommer un syndic pour administrer l’immeuble et représenter le syndicat des copropriétaires dans les actes civils et juridiques. Celui-ci peut être professionnel ou non professionnel — très courant dans les petites copropriétés. Dans tous les cas, le syndic est élu pour un mandat de 3 ans maximum. À la fin de ce mandat ou en cours de contrat, le syndicat des copropriétaires doit désigner un nouveau syndic, sous peine de poursuite judiciaire. Comment changer de syndic ? Quelle est la procédure à suivre ? Les réponses dans cet article.
En vertu de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965, toute copropriété a l’obligation légale de nommer un syndic professionnel ou non professionnel. Élu à la majorité absolue (majorité 25) par l’assemblée générale du syndicat des copropriétaires pour un mandat de 3 ans, il a pour mission d’administrer les parties communes de la copropriété. Que vous nommiez un syndic pour la première fois ou que vous changiez de syndic, découvrez les critères à prendre en compte pour choisir un syndic.
Selon la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965, tout immeuble géré en copropriété doit avoir un syndic de copropriété quel que soit le nombre de lots. Ainsi, malgré ce que beaucoup pensent, même les petits immeubles sont concernés par cette disposition légale. Toutefois, nommer un syndic de copropriété suppose des frais (frais de gestion et frais annexes) qui peuvent être assez conséquents. À titre d’exemple, les frais de gestion s’élèvent à environ 2 000 € pour les petites copropriétés et entre 150 € et 200 € par lot pour les grandes propriétés. De fait, de nombreuses copropriétés notamment celles à faible nombre de lots ou dont la majorité des occupants sont les propriétaires eux-mêmes — choisissent un syndic bénévole, beaucoup plus économique, pour la gestion de la copropriété. D’autant plus que la loi autorise cette pratique. Mais au-delà de cet aspect purement financier, nommer un syndic bénévole comporte d’autres avantages. Missions, responsabilités, avantages et inconvénients, conditions pour devenir syndic bénévole, cet article fait le tour sur le syndic bénévole.